Pas très complet. Sandy a été formée au Gd-Lancy puis au Signal avant Chênois puis le FFC Bern. Sandy s'est aussi entraînée de manière individuelle pour en arriver là. Sa réussite, elle le doit à elle en grande partie et ensuite à ses différentes ex-équipes. Tout le monde est d'accord pour dire que La LNB du CSC les ont formées pour les équipes nationales. Sans LNB, c'est juste impossible. Sinon, pour compléter l'info, Maeva a commencé à l'USTS (anciennement le CS Coppet, c'est la raison pour laquelle j'ai de la peine à écrire CSC pour Chênois,
)
Par formation, c'est personnel et dépend de la motivation de la joueuse comme expliqué dans un post précédent. Chaque club engage les entraîneurs nécessaires au mieux pour la formation des joueuses, c'est un cadre offert dont les joueuses profitent ou pas en contrepartie des cotisations versées. C'est le cas de Sandy, conseillée par son père.
Le Signal, section féminine, a été un précurseur sur Genève, c'est vrai et bravo. Mais il a profité comme les autres clubs, du "boom" des filles juniors adhérant aux clubs ou par le recrutement comme Humbé par exemple. Et puis, pourquoi mettre en avant une formation si le club ne peut pas offrir le niveau de ligue correspondant à cette formation ? Et là, faut aller lire le post des rivalités précédemment écrit, il y a clairement du protectionnisme parce que tous les clubs ont peur que leur formation profite au CSC sans contrepartie. Par contrepartie, j'entends des petits gestes comme :
- "visionner" les entraînements ou les matches juniors des autres clubs partenaires
- "informer" le public et les médias à propos du travail de ces clubs partenaires
- "inviter" les filles des autres clubs à des séances d'information ou des repas
- "dialoguer" sur les problèmes rencontrés à former les jeunes
- "participer" aux activités des autres clubs partenaires
- "annoncer" au club quand une joueuse prend contact ou quand son niveau est supérieur
- "informer " et "communiquer" auprès des filles, des équipes, des parents, des entraîneurs et des clubs
Bref, un vrai job en dehors de ce qui s'effectue déjà.